Créateur du Musée de la Photographie de l’Ile Maurice , Tristan Bréville ne se contente pas de rester dans le bâtiment du 18ème siècle qui abrite les incroyables collections.
Des collections sur lesquelles il veille avec sa femme Marie-Noëlle et leurs deux enfants, Marie-Julie et Frederick, tous mobilisés en ce mercredi 5 octobre pour l’inauguration d’une exposition de photos célébrant les 50 ans du musée.
Que d’obstacles surmontés depuis le musée installé dans le petit appartement à Quatre-Bornes !
ENVIRONNEMENT, PATRIMOINE, CULTURE …
Tristan et Marie-Noëlle Bréville, citoyens engagés ? Assurément et la 3ème partie de ce (très long) dossier consacré au musée en témoigne avec force.
OUI, Engagés sans retenue et avec énergie en faveur de l’Environnement, du Patrimoine, de la Culture d’une Ile Maurice authentique et fière de ses racines, de son identité.
Autant de repères que j’ai eu la chance de découvrir en sa compagnie depuis plusieurs décennies, grâce à une amitié de 39 ans née durant nos reportages effectués ensemble à travers l’ile Maurice dès l’automne 1977.
Je débutais alors dans le journalisme, en tant que coopérant sur cette île de l’océan Indien, à l’hebdomadaire La Vie Catholique. Et je découvrais une terre d’autant plus attachante que je m’aventurais dans sa vie quotidien e en compagnie d’un photographe mauricien des plus passionnés.
A cette époque, le musée de la photo aujourd’hui installé rue du Vieux Conseil se trouvait alors dans un petit appartement de Quatre-Bornes !
BESOIN ET ENVIE DE TÉMOIGNER
Voici quelques photos parmi d’autres prises ici et là à l’île Maurice. Appareil en bandoulière ou au poing, Tristan Bréville continue plus que jamais à prendre des photos. En toutes circonstances publiques et privées.
Histoire d’immortaliser l’instant présent, de laisser des traces.
Toujours le besoin et l’envie de sauver de l’indifférence et de l’oubli. De TÉMOIGNER simplement.
ENTRE COUPS DE CŒUR ET COUPS DE GUEULE
Ce 3ème et dernier volet du dossier comportent aussi quelques unes des tribunes libres signés Tristan Bréville dans la presse mauricienne au gré de divers événements.
Quelques coups de cœur et coups de gueule textes publiés en qualité d’attentif observateur d’une société mauricienne qui l’interpelle. D’où son envie et son besoin de réagir, de critiquer ou de féliciter.
Surtout pas pour donner des leçons mais tout simplement pour être un citoyen engagé.
TEXTE ET PHOTOS ALBERT WEBER
NOUVEAU SITE DU MUSÉE DE LA PHOTOGRAPHIE