Parler de Dominica Merola, c’est évidemment s’embarquer pour la Belle Province : cette auteure-compositrice-interprète est une des voix originales de la chanson québécoise, c’est évident.
Mais il serait incomplet et regrettable d’accoler à sa trajectoire artistique l’unique expression de « chanteuse québécoise ». Ce qualificatif ne reflète qu’une réalité à la fois partielle et partiale car Dominica jongle avec aisance entre culture québécoise et racines italiennes.
Pas étonnant que le terme de « L’Appassionata » – mot italien signifiant passionnée – soit souvent employé pour présenter cette chanteuse-pianiste dont le récent concert aux accents français, italien et anglais au Palais des Beaux-Arts – le célèbre Bozar de Bruxelles – a été synonyme de réussite.
Retour sur une inoubliable soirée mais aussi coup de projecteur sur les divers projets de cette attachante créatrice résolument sans frontières.