DOMINICA MEROLA A PARIS : “L’APPASSIONNATA” QUÉBÉCOISE ENTRE ITALIE ET AFRIQUE

La nouvelle tournée européenne de l’artiste québécoise Dominica Merola débutera à l’Entrepôt, dans le 14ème arrondissement parisien 12 mai 2016 à 21h30, avant plusieurs autres escales en France et Belgique.

Au programme des chansons de son troisième album, “Bohémienne de cœur” offertes en piano-voix.

Mais pas seulement car cette attachante auteure-compositrice-interprète-pianiste née à Montréal, dans une famille artistique, va s’aventurer du côté de l’Afrique.

 

En effet, durant ce spectacle, l’auteur, compositeur, guitariste, danseur et chanteur, Youssouf Karembe la retrouvera sur scène pour interpréter ensemble plusieurs duos rythmés.

En piste pour de nouvelles sonorités festives où Québec et Mali vont se croiser avec, vers la fin du concert, la complicité du percussionniste Amadaou  Daou. De quoi inciter le public à danser et faire la fête, non ?

 

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Dominica Merola et Youssouf Karembe au micro de Jacques Thévenet sur Aligre FM

 

RENCONTRE AU MICRO D’ALIGRE FM

Cette rencontre entre deux artistes d’univers si différents Est née dans un studio de radio grâce à l’animateur Jacques Thévenet.  C’est lui qui les a réunit au micro D’ALIGRE FM, leur tendant ainsi une belle occasion pour se lancer dans une nouvelle expérience.

 Pas évident d’écrire un “texte objectif ” sur une artiste que l’on connait depuis plusieurs années et dont on suit régulièrement – et avec intérêt – l’évolution d’une carrière enracinée dans son Québec natal mais aussi du côté de l’Italie de par ses racines familiales.

A vrai dire, l’objectivité n’existe pas dans le journalisme. L’on essaye d’écrire de manière sincère et authentique, en se mettant dans la peau de celui qui va nous lire, pour l’informer et lui partager nos coups de cœur ou nos coups de gueule. Mais comme tout le monde, le journaliste s’exprime en étant, consciemment ou non, influencé par sa culture, son expérience professionnelle et personnelle.

Alors comment réagir face à Dominica Merola ? Entre un article froid et impersonnel et un texte synonyme teintée de douteuses flagorneries, existe sans doute une troisième voie pour vous parler de cette voix qualifiée dans un précédent article d’ “intense et sensuelle, tour à tour douce et puissante”.

Mon ressenti n’a pas bougé au sujet de cette voix. Je dirai même que cette voix a évolué, qu’elle s’est affirmée avec encore davantage de nuances comme en témoigne avec éclat son nouvel album sorti en 2015 : “Bohémienne de cœur”.

Un album synonyme d’intense qualité, avec 11 titres mixés par Toby Gendron. Son nom ne vous dira sans doute pas grand chose : c’est un homme de l’ombre, de studio, qui a travaillé avec tant d’artistes québécoises. De Céline Dion à Éric Lapointe en passant par Jean-Pierre Ferland, Jean Leloup, Luce Dufault ou Marie-Chantal Toupin et … tant d’autres encore …

 

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Au micro de Jacques Thévenet en direct sur Aligre FM

 

“BOHÉMIENNE DE CŒUR” AVEC SYLVAIN MICHEL, SANDRINE ROY, MARC CHABOT, NELSON MINVILLE,  …

 Pour l’enregistrement des 11 titres de ce nouveau CD, elle s’est entourée d’une poignée de paroliers parmi les plus inspirés de la chanson québécoise : Sandrine Roy, Marc Chabot, Nelson Minville, Mala Barbulescu, etc.

En somme un album original à tous les sens du terme, avec des musiques composées par la chantese Dominica Merola … avec pour quatre titres l’efficace complicité du réalisateur  Sylvain Michel, par ailleurs également guitariste, bassiste, batteur et co-arrangeur avec Dominica de l’opus sorti chez A l’infini.

Le répertoire de Dominica explore avec passion tant de facettes de la vie amoureuse, qu’elle soit synonyme de coup de foudre ou de coup de tonnerre.

Ici, le sentiment amoureux est décliné sous diverses facettes, enrichi par nombre de thèmes qui nous concernent tous inévitablement, entre l’urgence de vivre, le temps qui s’enfuit, l’envie d’être heureux tout simplement.

“Broder du bonheur,  Dessiner un rire
Courir dans la neige, Caresser le temps
Déjouer les heures, S’armer d’un sourire
Éviter les pièges, Toucher le printemps”

Et c’est avec entrain que Dominica Merola “chante les mots, la vie” , titre d’une des chansons (paroles de Marc Chabit) majeures de cet album.

Plus loin elle se glisse avec conviction dans la peau d’une femme-passion dans un sacré tango enrichi d’accents jazzy : “Ciao-ciao, c’est une version moderne et ironique des adieux d’une femme jalouse : “Ne me joue pas les larmes” comme précise Martine Girard (A l’Infini Communication).

 

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Pause-photo durant l’enregistrement de l’album

 

FRANCE, SUISSE, BELGIQUE, ACADIE :  CONVAINCANTE “BOHÉMIENNE DE CŒUR” 

L’expression “Bohémienne de Cœur” colle avec justesse au destin de cette chanteuse québécoise.

Une artiste dont j’ai plus d’une fois – entre Québec, Acadie, France et Belgique – apprécié autant l’aisance scénique et vocale que les réactions du public visiblement conquis par un répertoire entre chanson française et airs classiques. 

Son parcours est suivi de près divers professionnels québécois, dont Jean V. Valiquet, lauréat en juin 2014 de la deuxième édition du prix Christopher-J.Reed.

D’où cette photo de Dominica Merola en compagnie de son éditeur : un des repères majeurs de l’industrie musicale québécoise, fondateur le 10 août 1982 de la maison d’éditions Groupe Éditorial Musinfo Inc. 

 

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Lauréat du 2ème Prix Christopher J. Reed, Jehan V. Valiquet en (très) bonne compagnie avec de gauche à droite Valérie Lahaie, Anne Bisson, Laura Gagné (nouvelle signature), Annie Poulain, Marie-Michèle Desrosiers, Diane « Shamane » Tremblay, Gaële et Dominica Merola (Photo David Laplante)

 

 DU BOZAR de BRUXELLES A L’ENTREPÔT DE PARIS VIA QUÉBEC

Me reviennent notamment en mémoire son inoubliable concert en décembre 2013 au prestigieux Palais des Beaux Arts (Bozar) à Bruxelles, seule au piano face à un public des plus attentifs.

Et aussi la trop courte prestation offerte en février 2016, au Fou-Bar dans la ville de Québec, lors du lancement officiel de Notre Sentier  (production et gestion événementielle) créée par Manon Gagnon.

Alors là se pose l’inévitable interrogation : comment vous donner envie de retrouver, à Paris, Dominica Merola dans son nouveau spectacle “Bohémienne de cœur” ?

A l’Entrepôt, elle mettra en relief un répertoire essentiellement de chansons originales dont elle a composé la musique : D’ici et de là-basCiao, ciao, Bella miaJusqu’au bout, Je reviendrai, etc.

S’y grefferont divers grands airs connus offerts avec “la touche Merola” … dont “Le Petit bonheur” cher à Félix Leclerc, “Une femme avec toi” immortalisé par Nicole Croisille,  “Hallelujah” de l’incontournable Léonard Cohen, et la liste n’est évidemment pas exhaustive.

 

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A retrouver à l’Entrepôt à Paris et ailleurs en France et Belgique

 

“J’AI FAIT DU PASSÉ MON PRÉSENT AVEC L’AV’NIR POUR SEULE ÉTOILE”

Pas étonnant que Dominica Merola soit surnommée au Québec  “L’Appassionata” (la passionnée), titre de son précédent album. Assurément un album-charnière dans sa carrière … mais aussi et surtout dans sa manière d’affirmer haut et fort sa double culture.

Une évidence et une fierté évoquée avec bonheur sur les mots en français de la parolière Sandrine Roy dans “D’ici et de là-bas »: “De la Toscane au Saint-Laurent/ Et de Rome jusqu’à Montréal/ J’ai fait du passé mon présent/Avec l’av’nir pour seule étoile”.

Alors si vous êtes sensible aux artistes fiers de leur double culture, aux créateurs audacieux qui aiment s’aventurer vers des voix/voies nouvelles (comme à l’Entrepôt avec Youssouf Karembe et Amadou Daou), si vous voulez retrouver une ambiance québécoise au coeur de Paris, … vous savez ce qui vous reste à faire.

J’y serai … et vous ?

 

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18 février 2016, avant le lancement de Notre Sentier au Fou-Bar dans le cadre de la Bourse Rideau. Deux heures de chanson francophone avec 7 artistes proposant chacun trois chansons de son choix face à un auditoire des plus attentifs : Jean-François Lambert Perso, Monique Désy Proulx, Micheline Bouzigon, Philippe Noireaut, Myreille Bédard, Claude Vallières, Ginette Paradis et Dominica Merola.

 

“NATURELLE, GÉNÉREUSE ET DÉBORDANTE DE JOIE QU’ELLE SAIT SI BIEN PROPAGER AUTOUR D’ELLE”

Un dernier argument pour vous convaincre ?

Bon, alors laissons le mot de conclusion à une passionnée de chanson française et francophone, Manon Gagnon (Notre Sentier) :

“Entendant des mots élogieux en faveur de l’artiste Dominica Merola, je me suis laissée guider par mon intuition et mon infatigable curiosité.

Après plus de 300 km, j’ai été séduite non seulement par le talent de l’artiste d’une grande authenticité, de passion et de sensibilité mais aussi par la personne naturelle, généreuse et débordante de joie qu’elle sait si bien propager autour d’elle.

J’ai constaté depuis que Dominica et son conjoint n’hésitent pas à soutenir les artistes dans leurs démarches par leurs présences à aux lancements et aux concerts. Un exemple à suivre.

N’hésitez pas, tout comme moi, à faire quelques kilomètres ou stations de métro pour vous offrir une soirée enrichissante d’émotions, de plaisir et d’amitiés en chansons.

Il y a aura même des Québécois qui feront plus de 7000 km pour être présents, ce n’est pas rien !”.

TEXTE ALBERT WEBER

PHOTOS JACQUES VAN DE VOORDE, DAVID LAPLANTE

Site DOMINICA MEROLA  

Site NOTRE SENTIER

Site A L’INFINI

Achats des billets du concert de l’Entrepôt ICI

 

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QUEBEC/ EDITION MUSICALE : JEHAN V. VALIQUET RECOIT LE PRIX CHRISTOPHER J. REED

La deuxième édition du prix Christopher-J.Reed a mis en évidence, jeudi 19 juin 2014, un des professionnels majeurs de l’industrie musicale québécoise : Jehan V. Valiquet, fondateur le 10 août 1982 de sa maison d’éditions Groupe Éditorial Musinfo Inc. spécialisée dans la chanson.

Retour en images et en vidéo sur cet événement ayant réuni, salle Stevie Wonder de la Maison du Festival Rio Tinto Alcan à Montréal, nombre de professionnels saluant l’engagement de longue haleine de ce repère essentiel de l’édition musicale.

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NOGENT / FESTIVAL BERNARD DIMEY : LE TEMPS DES INTENSES RETROUVAILLES (2)

Du 6 au 10 mai, Nogent aura vécu au rythme des journées et des soirées d’un festival synonyme de nombreuses retrouvailles et rencontres.
Oui, au-delà des concerts évoqués dans le prochain dernier volet de ce dossier, le festival aura également vibré après chaque spectacle aux accents d’une troisième mi-temps animée avec brio par Maxime et Jean-Philippe Vauthier, alias le duo Rouge Gorge. Avec en prime des interventions de chaque groupe ou artiste au programme.

Retour sur quelques-uns des innombrables temps forts d’une conviviale 14ème édition marquée par la regrettable absence des envoyés spéciaux de Vinyl, la revue “musique hors bizness”.

Embarquement immédiat pour Nogent histoire de retrouver ou découvrir les coulisses de l’édition 2014.

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NOGENT/ FESTIVAL BERNARD DIMEY : ASSUREMENT UNE NOUVELLE VAGUE (1)

Aujourd’hui le 14ème Festival Bernard Dimey organisé du 6 au 10 mai 2014 à Nogent n’est plus qu’un (bon) souvenir.

Et l’Hôtel du Commerce aux murs abondamment ornés d’affiches des précédentes éditions a retrouvé son rythme de croisière face à la mairie, à côté du musée de la coutellerie et des locaux de la Communauté de communes du Bassin Nogentais.

Et aussi à quelques pas de la Médiathèque Bernard Dimey et de sa célèbre cave à Bernard : un espace idéal pour mettre en relief les textes du créateur de Syracuse.

Retour sur l’édition 2014 dont la programmation aura été qualifiée à juste titre de “nouvelle vague”par le Journal de Haute-Marne.

Prêts à découvrir ce festival enraciné dans le Nogentais ? Alors en route sans tarder vers Nogent en passant par Is en Bassigny, si le cœur vous en dit.

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CHANSON/DOMINICA MEROLA : vibrante “Appassionata” entre Québec et Italie

Parler de Dominica Merola, c’est évidemment s’embarquer pour la Belle Province : cette auteure-compositrice-interprète est une des voix originales de la chanson québécoise, c’est évident.
Mais il serait incomplet et regrettable d’accoler à sa trajectoire artistique l’unique expression de « chanteuse québécoise ». Ce qualificatif ne reflète qu’une réalité à la fois partielle et partiale car Dominica jongle avec aisance entre culture québécoise et racines italiennes.

Pas étonnant que le terme de « L’Appassionata » – mot italien signifiant passionnée – soit souvent employé pour présenter cette chanteuse-pianiste dont le récent concert aux accents français, italien et anglais au Palais des Beaux-Arts – le célèbre Bozar de Bruxelles – a été synonyme de réussite.

Retour sur une inoubliable soirée mais aussi coup de projecteur sur les divers projets de cette attachante créatrice résolument sans frontières.

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CHANSON FRANCAISE/ ERIC FRASIAK : 27 partitions à reprendre en choeur

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Bonne nouvelle pour ceux qui s’intéressent VRAIMENT à la chanson française … et notamment à l’auteur-compositeur-interprète Eric Frasiak. Il vient de publier un livre de partition des albums “Parlons-nous” et Chroniques”.

Un recueil de 110 pages INDISPENSABLE à ceux qui désirent mieux connaître son répertoire. Une initiative lancée sous l’égide de CROCODILE Productions.

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FRASIAK LA UNE

 

Un des artistes français les plus représentatifs de la “chanson vivante”

Inutile de chercher de midi à 14 heures : Eric Frasiak est un des artistes français les plus représentatifs de cette “chanson vivante” qui me tient à cœur. Un de ces créateurs qui  avance avec détermination, sans structure professionnelle pour décrocher des contrats. Et ça marche …

“Cet ouvrage contient les partitions chant/piano des 27 chansons dont je suis l’auteur compositeur avec les accords guitare, les textes et de nombreuses photos” explique le chanteur de Bar-le-Duc.

La publication de ce document est un bel exemple d’une créativité des plus efficaces qui m’incite une fois de plus à faire appel à une de mes expressions favorites : “Dans la vie, il y a le savoir-faire … et il faut aussi le faire-savoir”.

Nul doute que l’ami Frasiak conjugue  avec aisance ces deux facettes assurément complémentaires.

FRASIAK SOMMAIRE

 

110 pages : un outil de travail et un ouvrage de référence

Dédiée à son père récemment disparu, cette publication bénéficie de photos de l’artiste en pleine action en diverses circonstances : elles sont signées Etienne Begouen, Magali Etienne, Dominique Flahaut, Claude Leprieur, Frédéric Mercenier, Typhaine Michel et Noémie Nobre Félix.

Sans oublier, évidemment, Chantal Bou-Hanna dont le site “Au doigt et à l’oeil” offre un formidable voyage au coeur des concerts de cette fameuse “chanson vivante” trop méconnue des “grands médias” :  http://chantalbouhanna.eu/

Les temps forts de la “trajectoire artistique frasiakienne” sont mis en évidence dans une bio express d’une page.

La mise en page assurée par l’Atelier Corinne François joue avec brio entre les paroles des chansons, les partitions et les photos. S’y ajoute également une préface reproduite ci-dessous…

A la fois outil de travail et ouvrage de référence, ce document mérite une large audience, c’est évident.

En vente 18 € (+3 € de frais de port) uniquement sur frasiak.com.

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Albert WEBER

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Eric Frasiak ? Parlons-en : “Qu’est-ce que c’est beau !”

Ah, il fallait bien que ça nous arrive un jour ! Et nous y voilà !

Nous ? Je veux parler de celles et ceux qui suivent avec obstination et passion la trajectoire artistique de cet auteur-compositeur-interprète barisien, sa manière de retenir notre attention avec des mots de la vie de tous les jours qui nous vont droit au cœur et à l’esprit.

Oui, à force d’entendre (et surtout d’écouter) les chansons de l’ami Frasiak (sans Z s’il vous plait !), il y a de quoi donner des idées à certains d’entre nous. Des envies d’interpréter à notre tour les chansons des albums “Parlons-nous” et “Chroniques”.

Alors pour satisfaire à diverses demandes, et aussi pour se faire plaisir (l’un n’empêche pas l’autre, bien au contraire !) voici un livre contenant les partitions de 27 chansons dont Frasiak auteur et le compositeur.

Oui les amis, voici près d’une trentaine de titres à savourer sans modération. Histoire de cerner encore un peu mieux ce répertoire à la fois intemporel et sans frontières … et pourtant enraciné avec force dans notre quotidien entre désillusions et espoirs, doutes et réussites.

Ici pas de manichéisme malsain ni de refrains pour vous faire croire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. 

Mais attention, les “chansons frasiakiennes” n’ont rien à voir avec des pamphlets ravageurs et pessimistes sur notre pauvre planète où tout va mal entre chômage croissant ou sur nos années qui s’enfuient trop vite !

Prenez donc le temps de redécouvrir “Monsieur Boulo” ou “50/50″ pour bien comprendre de quoi il en retourne. Ces deux chansons parmi tant d’autres  témoignent de la manière dont Frasiak raconte la vie avec ses notes et ses mots teintés d’audace et de lucidité : des chansons pour COLORER SANS DÉNATURER nos états d’âme et nos raisons de croire en des lendemains meilleurs.

En relisant les textes ou en vous référant aux accords de guitare pour interpréter les chansons de cet amoureux de Dimey et de Béranger (“Mon vieux maître à chanter”)  une évidence s’impose : demain sera plus beau qu’aujourd’hui, même si “Le rêve de MLK” ne s’est pas (encore) réalisé comme souhaité.

Et comme l’ami Frasiak, malgré “La vie qui court», agissez pour qu’il y ait de plus en plus “De l’amour dans l’air”. Et même si vous avez le cœur à marée basse à cause «De la pluie », restez-vous-même avec vos propres valeurs loin du “Tango de la jet-set”.

Comment ? Vous me dites “Je sais tout ça” ! D’accord alors n’en ajoutons pas davantage et vivons aujourd’hui INTENSÉMENT tous ces rêves qui faisaient battre nos cœurs loin de tous “Les Bonimenteurs”.


Albert WEBER
www.planetefrancophone.fr

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 CHAUMONT SANDRINE ROY ERIC FRASIAK

Mai 2013, durant le Festival Dimey de Nogent. Rencontre à Chaumont avec Eric Frasiak et Sandrine Roy, parolière de nombreuses chansons enregistrées par divers artistes aussi bien au Québec qu’en France

FRASIAK HUMANITE

Mars 2013, sortie de l’album “Chroniques”. D’où ces trois dessins reproduits sur le site d’Eric Frasiak avec la légende suivante :

“Ouaaaaaahhhhhhhhh. C’était dans L’HUMANITE du mercredi 6 mars…
Quand j’étais gamin, je dévorais Pif Gadget et j’adorais Pif et son pote Hercule. J’aurais jamais pensé qu’un jour Pif chanterait une de mes chansons.
Et vous avez vu, il a piqué mon chapeau.
Merci Kort pour ce joli cadeau…”

 

BRUXELLES / CHANSON QUEBECOISE : DOMINICA MEROLA AU BOZAR

[box_light]Rendez-vous à Bruxelles le 19 décembre pour un concert signé Dominica Merola, auteure-compositrice-interprète. Une soirée unique au Palais des Beaux-Arts plus connu sous l’appellation Bozar ![/box_light]

 

FB DOMINICA BRUXELLES OK

 

Comment ? Vous le connaissez pas L’Appassionnata ? La chanteuse-pianiste québécoise qui ne renie pas ses origines italiennes … bien au contraire. 

Née à Montréal au sein d’une famille d’artistes, Dominica commence à étudier le piano avec passion dès l’âge de six ans. Elle poursuit ses études musicales en chant et piano et en théâtre.

Elle a sorti deux albums au Canada : “Les signes du désir” et “Appassionata” en collaborant avec des grands de la chanson québécoise. Et un troisième opus est prévu pour 2014.

Depuis plusieurs années, Dominica Merola parcourt le Québec, les Etats-Unis et maintenant l’Europe en charmant ses auditoires avec sa grande voix au timbre unique.

Des aigus les plus audacieux jusqu’aux murmures intimistes et aux sons plus graves d’une sensualité surprenante, elle s’exprime à travers une grande palette d’émotion.

 Elle possède un registre à couper le souffle (3 octaves). Dominica est une véritable magicienne des atmosphères.

Pianiste virtuose, elle occupe toute la scène par sa présence, avec ses chansons en français, en italien et en anglais et plusieurs de ses créations.

En concert ce 19 décembre au Bozar à Bruxelles

 

“J’ai épousé le Père Noël 20 ans plus tard … mais oui ! “

Il faut dire aussi que le choix de la période de Noël n’est pas une coïncidence !

En effet, Dominica est au coeur d’une incroyable histoire dont elle a mis des années à découvrir la vérité ! Elle a en effet épousé sans le savoir  (et lui non plus) le père Noël de son enfance.

Car en se mariant, elle ignorait que Jacques Van De Voorde l’avait déjà rencontrée dans une vie antérieure, alors qu’il assurait le rôle du Père Noël dans un centre commercial de Montréal … et que la petite Dominica avait posé avec lui pour une photo !

Cette photo a été retrouvée un jour, lors d’une discussion entre proches enracinée dans des souvenirs d’enfance. Et c’est là que le couple s’est rendu compte de cet épisode de leur vie qu’ils avaient tous deux oublié !

D’où l’idée de la chanteuse québécoise d’enregistrer une chanson des plus entraînantes mettant en relief cette histoire : “Dans son habit rouge et blanc, qu’il était beau mon Père Noël”… souvenir d’enfance, 20 ans plus tard, on se rencontre !! Une histoire vraie pour le temps des fêtes, “J’ai épousé le Père Noël”  mais oui c’est vrai ! ” raconte la chanteuse.

Et de préciser qu’un CD de trois titres a été enregistré en septembre dernier à Montréalen français, anglais et italien sous la direction artistique de Sylvain Michel … et sur la base de cette histoire d’enfance.

Dominica Merola en signe la musique ainsi que les paroles, pour lesquelles elle a travaillé avec Sandrine Roy pour la version française et l’adaptation anglaise ainsi que Sara Ottobini pour l’adaptation italienne.

Mixé par Toby Gendron, professionnel québécois bien connu dans le milieu artistique, ce mini-CD de trois titres est également disponible sur Itune et Amazon. Une aventure discographique suivie de près par Jehan V. Valiquet (Musinfo Inc), éditeur du répertoire de Dominica Merola.

Photo : Une histoire à peine croyable que celle  de Dominica Merola et moi-même.  La chanson , chantée par Dominica avec sa voix magnifique,"J'ai épousé le père Noël" en trois langues la raconte  dans la bonne humeur.  Elle est maintenant disponible pour téléchargement sur ITunes et Amazon.  Un grand merci à Sandrine Roy et Sara Ottoboni pour leur collaboration inspirée

 

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Jeudi 19 décembre 2013 à 20h – Bozar de Bruxelles

www.dominicamerola.com

www.bozar.be

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TEXTE ALBERT WEBER

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