Après avoir appris en juillet dernier que la Fondation du patrimoine de Gilles Vigneault renonçait – définitivement _ au projet de restauration des bâtiments du site patrimonial et familial à Natashquan, la population locale a décidé d’agir pour sauvegarder la mémoire d’un des plus grands poètes de l’histoire du Québec. Explications.
En déplacement au Québec pour le Festival en chanson de Petite-Vallée, j’apprends avec stupéfaction de l’historien réunionnais Sudel Fuma, si souvent rencontré durant mes années de journalisme sur cette île de l’océan Indien.
Victime d’un naufrage au large de la ville de la ville de Sant-Paul, le 12 juillet 2014 à l’âge de 62 ans, il laisse le souvenir d’un militant déterminé de l’identité réunionnaise, sans langue de bois, avec une fougue communicative pour TOUT ce qui concernait la mise en valeur de l’Histoire, du Patrimoine et AUSSI l’avenir de sa terre natale.
La deuxième édition du prix Christopher-J.Reed a mis en évidence, jeudi 19 juin 2014, un des professionnels majeurs de l’industrie musicale québécoise : Jehan V. Valiquet, fondateur le 10 août 1982 de sa maison d’éditions Groupe Éditorial Musinfo Inc. spécialisée dans la chanson.
Retour en images et en vidéo sur cet événement ayant réuni, salle Stevie Wonder de la Maison du Festival Rio Tinto Alcan à Montréal, nombre de professionnels saluant l’engagement de longue haleine de ce repère essentiel de l’édition musicale.
A l’occasion de la Fête de la Musique, c’est avec plaisir – et émotion – que je vous présente le témoignage de Nathalie Valentine Legros, une amie journaliste et écrivain de l’Ile de la Réunion.
Regardez bien le banc au bas de ce paragraphe. Vous y voyez Marie-Claire Séguin, un des fidèles “arrimeurs” du festival, un des artistes attentifs à la nouvelle génération venue “apprendre” à Petite-Vallée.
Envisagez-vous de vous y asseoir à un moment ou un autre entre le 27 juin et le 5 juillet ? Si oui, vous faites partie des privilégiés qui vivront le 32ème Festival en chanson de Petite-Vallée avec son artiste passeur Vincent Vallières.
L’auteur-compositeur-interprète québécois a d’ailleurs profité des FrancoFolies de Montréal pour présenter cet événement majeur de la chanson québécoise organisé cette année sous le thème «Ok on part”.
Du 5 au 14 juin 2014, Pully et sa région ont vécu à l’heure des chansons francophones d’Amérique du Nord.
Avec 80 concerts en 10 jours, le festival Pully-Lavaux à l’heure du Québec a mis en évidence des artistes de plusieurs générations et aux registres les plus variés
Au-delà des concerts, cet événement aura aussi été synonyme de rencontres et de retrouvailles, d’échanges tant amicaux que professionnels. Un carrefour incontournable de la francophonie canadienne qui aura, pour la première fois, bénéficié d’un chapiteau offrant tous les soirs plusieurs concerts gratuits !
D’où ce deuxième article consacré aux coulisses du festival, à ce que le public n’a pas nécessairement vu ni vécu.
Autant d’instants saisis sur le vif et de groupes qui ont pris le soin de poser, soit à ma demande soit à celle d’artistes désireux d’avoir une photo en compagnie du parolier Luc Plamondon.
80 concerts en 10 jours à Pully et ses environs !
Ça y est, les accents acadiens et québécois ont quitté la Suisse pour s’en retourner de l’autre côté de l’Atlantique.
Et la 10ème édition du Festival Pully-Lavaux à l’heure du Québec fait désormais partie de ces souvenirs qui en disent long sur la vitalité de la chanson francophone d’Amérique du Nord. Mission accomplie avec 80 spectacles en cinq jours : du 5 au 14 juin Pully et ses alentours ont vibré à des talents tous venus de l’autre côté de l’Atlantique.
Bien qu’elle soit connue en qualité d’auteure-compositrice-interprète, il serait réducteur de qualifier Caroline Desbiens de chanteuse.
Qualifions plutôt cette fille et petite-fille de capitaine sur le Saint-Laurent de femme qui chante. Car ses paroles et ses musiques s’aventurent bien au-delà d’une succession de chansons proposées au gré des festivals et des concerts des deux bords de l’Atlantique.
Rencontre avec une femme de cœur et de caractère, attachée à son Isle-aux-Coudres natale et son Québec (souverain) et engagée en faveur d’une expressive chanson québécoise pleine de (bon) sens.
Troisième et dernier volet de notre dossier sur le 14ème Festival Bernard Dimey. Du 6 au 10 mai, la grande salle du centre culturel Robert Henry aura résonné chaque soir aux accents de talents émergents et d’artistes confirmés.Après nous être promené dans les coulisses du festival, entre retrouvailles amicales et professionnelles et ambiance des troisièmes mi-temps s’achevant invariablement vers 2 heures du matin, place aux huit concerts.
Quatre soirées aux allures de surprenant puzzle, avec des expressions musicales très variées, entre ambiance intimiste et explosion de sons et de lumières.
Mais pas de chanson finale réunissant les deux artistes ou groupes programmés, à l’instar de ce qui a pu se passer ici et là au centre culturel lors de précédentes éditions.